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Weblog autoréférent
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(2003)(2004)(2005a)(2005b)(2006a)(2006b)
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[30 mai] :
Retrouvé
ce courrier de Nicolas Graner :
Objet : titre auto-référent
"Teen Sex Survey Reveals Lying Is Rampant in Teen Sex Surveys"
-- Boston Herald headline
Cité par http://www.thisistrue.com/currentissue.html
(newsletter
hebdomadaire gratuite que je te recommande).
_________
[26 mai] :
Lu dans
les pages Cannes du Libé du jour, p. 24, cette déclaration
de Bruno Dumont :
Moi j’ai
du mal à m’exprimer par la pensée. Comme disait saint Augustin, « si on ne demande pas ce que je sais, je le sais,
si on le demande, je ne sais plus ».
_________
[23 mai] :
Vu dans le
quartier deux publicités pour des entreprises de menuiserie... qui se coupent
la tête :
_________
[17 mai] :
Bien aimé
le folioscope/flipbook de Julia Featheringhill
qui peut-être visionné sur son site (cliquer sur l’image) :
_________
[16 mai] :
Devinez
combien de pages comporte le livre de Hans-Peter Feldmann ?
_________
[15 mai] :
This morning I was thinking about San Francisco, and the view from my old flat that I shared with
three friends on Mission and 17th. Right across the street from us was a store
called Thrift Town, and right on top of Thrift Town was a huge sign that read
"17 Reasons". My roommates and I used to sit around guessing what
that could possibly mean...17 reasons why you should shop at Thrift Town? 17 Reasons why you should stare at this
sign instead of doing something productive?
Texte trouvé ici.
Les images viennent de là.
_________
[14 mai] :
... en quatre langues, bien sûr
Une œuvre de Kay Rosen (déjà rencontré dans ces pages), datant de 2005 et intitulée Pendulum, bien
sûr...
_________
[11 mai]
... vu
dans le catalogue Art Basel 37,
cette photo intrigante qui devient claire dès qu’on en lit la (merveilleuse !) légende :
Mungo Thomson
Silent Film of a Tree Falling in the Forest, 2005/06
16 mm color film, silent,
Production still.
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[10 mai] :
... œil
trompé, en effet (vu sur une camionnette garée près du
bureau).
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[9 mai] :
Ai passé
commande à Buren Gilles
Esposito-Farèse pour ces deux images subtiles (reculez-vous !) – lesquelles furent inspirées à Daniel Gilles
par ce site-ci :
_________
[8 mai] :
W.-e. sous
le signe de l’autoréférence avec une affichette trouvée près du bureau :
... une
expo chez Frédéric Desimpel
présentant un autoportrait de Justin
Morin en forme de mains qui brodent des mains sur une... toile :
<-- (détail)
... dans
la même galerie, Edith Dekindt filme des gouttes d’encre gelée se dissolvant
dans un aquarium : l’encre du futur serait-elle de pixels ?
Chez Pascal Retelet
une magnifique pièce de Claudio Parmiggiani, Senza Titolo (enclume, marteau, toile,
1977) qui évoque le travail même de l’artiste :
Pris
connaissance des travaux de Matthias Weischer grâce à l’Art
Press du mois (j’adore
sa Gelbe Lampe, toile de toiles, et ce Studio) :
Lu ceci,
quelque part :
« Le
plus incompréhensible, c’est que le monde soit compréhensible » (Albert Einstein)
Ça me
remet en mémoire ceci, d’Imre Kertész
(retrouvé grâce à Google sur le site du Monde) :
Kertész décide de vivre de sa plume et se
cache pour écrire dans les « espressos »
enfumés de Budapest. Dans les années 1960, il commence Être sans destin, qui ne trouve d'abord aucun éditeur. Il lui
faudra attendre vingt ans pour que, en 1982, une critique de l'écrivain magyar Gyorgy Spiro éveille de l'intérêt
pour ce singulier « roman de
formation à l'envers » où un enfant, à Auschwitz, découvre
sans jugement moral ce qui sous-tend la philosophie de Kertész
- et aussi celle de B. : que « le Mal est le principe de la vie » et que « ce qui est
véritablement irrationnel, qui n'a pas d'explication, ce n'est pas le Mal, mais
le Bien ».
Aimé ce Terrain vague de Man Ray et cette Peinture de
Chevalet (vue ce w.-e. sur FR3) :
_________
[4 mai] :
Tristan L. m’a ramené une belle
gomme shakespearienne de Londres (et noire et frappée d’un « Va-t’en,
maudite tache ! ») :
_________
[3 mai] :
Viens d’échanger quelques
courriers avec la galerie Laura
Bartlett, laquelle me confirme que la boucle de pellicule 8mm enfermée dans
le caisson transparent d’Elizabeth McAlpine, fait bien 98 mètres de long – soit la hauteur
du campanile de la place Saint-Marc à Venise, lequel
est précisément l’objet du film – un panoramique vertical d’une durée de 20
minutes. (Si ce n’est pas de l’autoréférence au carré, ça !
Le réel et sa représentation de même longueur !)
_________
[30 avril] :
Lu dans
les Inrocks
de cette semaine :
La mise en abyme du Coffee Table Book
Vous ne savez pas ce qu’est un Coffee
Table Book ? Mais si : c’est un gros et beau livre qu’on pose sur
la table basse du salon, qu’on n’ouvre jamais et qui prend vicieusement bien la
poussière. Le genre d’objet qui hurle un peu trop que vous tenez à ce que votre
intérieur soit chic. La solution ? Dénicher The Coffee Table Coffee Table Book (en français « Le Coffee
Table Book des Coffee Table ») d’Alexander Payne et James Zemaitis, paru il y a trois ans chez Black Dog, et
récemment réédité, mais disponible en France uniquement en import, dont le
titre à lui seul, sous forme de mise en abyme, suggère suffisamment de
distanciation pour éloigner à tout jamais de votre intérieur le risque du
cliché. Ouf.
_________
[27 avril] :
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[26 avril] :
Jacques Tramu et Gilles E.-F. ont
tressé leurs neurones pour produire le magnifique texte suivant :
Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois,
à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le
temps de me dire : « Je m’endors. » Et, une demi-heure après, la pensée qu’il
était temps de chercher le sommeil m’éveillait ; je voulais poser le volume que
je croyais avoir encore dans les mains et souffler ma lumière ; je n’avais pas
cessé en dormant de faire des réflexions sur ce que je venais de lire :
vingt-six a, trois b, treize c, dix-sept d, cent deux e, douze f, cinq g, neuf
h, quarante-cinq i, huit j, un k, dix-sept l, dix-neuf m, trente-neuf n,
vingt-trois o, treize p, neuf q, trente-trois r, trente-huit s, trente-neuf t,
trente u, onze v, un w, huit x, trois y, cinq z.
Jacques propose
enfin, « pour se reposer », un
minuscule énoncé binaire autoréférent :
11 0, 100 1
Merci à vous deux !
_________
[23 avril] :
Reçu
de Christian D. (toujours via
la liste Oulipo) ce joli ambigramme :
_________
[22 avril] :
Ceci, de Gilles E.-F., passa par la liste Oulipo ce jour :
Avec une conjonction finale, on obtient
cet élégant pangramme :
>
Deux &, trois a, un b, deux c, dix d, douze e, deux f, un g, un h,
>
dix i, un j, un k, un l, un m, treize n, quatre o,
deux p, quatre q,
>
six r, cinq s, sept t, dix-neuf u, un v, un w, dix x,
un y & trois z.
----------
> L’alexandrin « Portez ce vieux
whisky au juge blond qui fume »
> contient cinq e, trois i, deux o,
cinq u et une seule fois chacune
> des
vingt-deux autres lettres de l’alphabet, alors que la phrase
> que vous êtes
en train de lire comprend quatorze a, trois b, onze c,
> quinze d,
cinquante-six e, cinq f, six g, cinq h, vingt-sept i,
> deux j,
deux k, onze l, trois m, trente n, dix-sept o, neuf p,
> onze q,
seize r, vingt et un s, trente t, vingt-sept u, sept v,
> deux w,
douze x, deux y et neuf z.
Bravo Gilles, trop beau !
_________
[18 avril] :
Julian Beever dessine
des trompe-l’œil à la craie sur les trottoirs. C’est le roi de l’anamorphose...
_________
[17 avril] :
Reçu ce (double) message de Frédéric
Schmitter :
> L’anagramme autoréférente
> autant mélangée,
reformera
> l’anagramme autoréférente.
... et :
> A-Z à refléter - il a été rareté à lire tel - fera Z-A.
... cette dernière phrase faisant magnifiquement écho
à ces tentatives-ci.
Un (double) bravo, Frédéric !
_________
[11 avril] :
Bien aimé ce texte de Roba (envoyé à la liste Oulipo et visible là), lequel
commence comme ça :
Si
premier est deuxième, deuxième est quatrième et cinquième. Alors quatrième est
septième et onzième, et cinquième est neuvième et dix-neuvième. Donc septième
est treizième (...)
_________
[7 avril] :
Lu un
texte d’Eva A. assorti de photos
évoquant la frappe du même texte :
(...) la main droite de
Madeleine Delande se mit à danser au-dessus du
clavier dès l’instant qu’elle avait enfilé ce gant (...)
_________
[29 mars] :
Ai vu
passer sur la liste math-fun
l’adresse du site roadsignmath,
lequel se consacre aux opérations mathématiques réalisables avec des signes
routiers. Ici 13-10=3 (c’est souvent beaucoup plus tiré par les cheveux) :
_________
[20 mars] :
Le billet
du jour d’Hervé Le Tellier se
termine ainsi :
Retour du Salon du livre : un jour, j’écrirai un
livre dont le titre sera : « Un bouquin dont j’ai oublié le
titre ». C’est fou le nombre de gens qui le réclamaient déjà.
_________
[19 mars] :
Adoré
ceci, trouvé p.61 dans le livre « Oui » consacré à Pierre de Sciullo
(collection design
& designer chez Pyramid) :
TOUT SLOGAN SERA PUNI
_________
[18 mars] :
Reçu ce
message d’Alexandre W.
AUTOREF PARTICULIÈRE: "À bout de souffle" (Le hold up), la chanson de Nougaro écrite sur la musique de Dave Brubeck "Blue rondo à la turk".
L’intrication musique/texte est si étroite qu’elle confine à l’autoréf.
1. Quand le héros de l’histoire,
dans sa fuite, entre dans un club de jazz, on entend la musique du club. Mais
c’est en même temps la musique de la chanson! Ce passage musical possède à la
fois le double statut d’illustration/décor sonore des paroles (ce qu’est en
général la musique d’une chanson, l’inverse étant vrai aussi), et paroles elles-mêmes
car dans la narration elles jouent ce rôle! En effet, le poète aurait pu écrire
l’idée que < dans le club, tout-à-coup, le héros respire, il y a de la
musique agréable, les gens sont calmes et en paix, il peut s’y cacher un
moment, il est extrait de son monde hallaliesque >, mais tout ceci est "dit" en
trois secondes de musique du club, si bien que la musique (de la chanson) est
ainsi entrée dans le texte même de la chanson.
2. Dimension autoréférentielle
supplémentaire, la musique choisie par Nougaro
est une célèbre composition de jazz, et l’homme en fuite éperdue chanté sur
cette musique se retrouve tout à trac... dans un club de jazz! Ce club qui est un point nodal de la chanson
non seulement par ce seul moment de calme dans la fuite du héros-chanteur, mais
aussi par ce paradoxe que la musique "du club" (qui est aussi celle
de la chanson), *n’est plus* celle de la composition de Brubeck (qui est aussi celle de
la chanson)! Nougaro a introduit ici
une rupture sémantique paradoxale qui se permet d’interrompre la compo de Brubeck, tout en
lui rendant un bel hommage, ainsi qu’au jazz...
_________
[15 mars] :
Prévenu par une
« alerte Google », j’ai suivi ce (très
intéressant) lien :
(...)
La plupart des utilisateurs de tableurs
informatiques (Lotus 1-2-3 ou Microsoft Excel sont les plus courants) en auront
fait l’expérience : les formules du type A1=f(A1) ou A1=f(B1) et simultanément
B1=f(A1) sont impossibles. Chaque fois que l’on tente de faire entrer le
résultat d’une opération dans l’itération suivante de cette même opération ou
de relier deux cases par des formules mathématiques ou logiques qui dans la
première case font appel au contenu de la seconde et dans la seconde
nécessitent une référence au contenu de la première apparaît immanquablement un
message d’erreur semblable à celui-ci qui souligne l’impossibilité d’établir
des liaisons circulaires, symétriques ou réflexives:
_________
[9 mars] :
Caroline Fourgeaud-Laville n’aime pas vraiment
l’autoréférence :
(...) L’autoréférence est le
péril et la marque de fabrique de notre société en ses modes de penser et de
produire. Songeons à la vague pauvrement déferlante, en littérature, de
l’autofiction où l’œuvre est d’abord l’œuvre d’un auteur, et n’est que cela.
Quand l’art s’est efforcé d’atteindre une autonomie et une certaine ontologie,
nous assistons impuissants à une régression par dissolution de ce qui
distinguait les deux êtres, celui de l’œuvre et celui de l’auteur. La confusion
est à nouveau instituée: nous sommes sous le règne de l’autoréférence.
Aujourd’hui le moi de l’auteur assiège celui de l’œuvre. Peut-être sommes-nous
les enfants-victimes du Ready-made et
de l’Intention comme critère
nécessaire et suffisant. L’œuvre de musée étranglée entre les références des
visiteurs et celles des auteurs attend de renaître. Il est pourtant des œuvres
qui vivent toutes seules, d’elles-mêmes: la Joconde se passe de Leonard
tandis que la roue de bicyclette ou l’urinoir ne peuvent se passer de Marcel Duchamp. Après l’expérience de dépossession
vécue conjointement par Mallarmé et Cézanne, nous assistons à un recul de
l’artifice et de l’abstraction. L’autoréférence de l’œuvre à son auteur induit
une nouvelle forme de comportement: nos yeux se sont habitués à voir double, à
contempler simultanément un nom et une œuvre, à "reconnaître" un Picasso. Ainsi, plus grave que la
présence de fantômes stériles, est l’absence de fantômes: les fantômes
disparaissent, s’évanouissent derrière les cimaises, ou pire, finissent par
s’incarner.
_________
[6 mars] :
Reçu de Jean
Fontaine :
« J’en
profite pour ajouter un autre graphique autoréférent
que j’ai repéré quelques jours plus tard (le 24 février, si je me souviens
bien) à l’émission satirique « The Daily Show with
Jon Stewart » (c’est le même
Jon Stewart qui anime la soirée des oscars ce soir). La qualité de l’image
n’est pas terrible, alors voici des éclaircissements.
L’animateur discutait des dépenses américaines consacrées à l’Iraq. Son
propos était illustré par un graphique du type camembert (« pie chart » en anglais) intitulé « U.S. SPENDING IN IRAQ
(billions) ».
Les secteurs du graphique sont apparus progressivement à l’écran dans
cet ordre :
$ 47 DEFFEATING INSURGENCY
$ 87 CONVINCING PEOPLE WE’RE
DEFEATING INSURGENCY
$ 8 RECONSTRUCTION
$ 37 RE-RECONSTRUCTION
$ 35 RE-RE-RECONSTRUCTION
$ 23 CONVINCING PEOPLE WE’RE
RECONSTRUCTING
et, pour finir :
$ 13 PIE CHARTS...
_________
[5 mars] :
« Devant mon tableau terminé je me demande si suis
face à un obstacle qui me cache la vue sur le monde, ou au contraire si je suis
devant une fenêtre qui m’en donne une vue différente, inattendue. Ou encore, si
je suis devant un miroir qui me renvoie ma propre personne » (Jan Voss, 4e de couv’)
_________
[3 mars] :
« Je pensais avec des parenthèses sans mots à
l’intérieur »
(Marcel Broodthaers cité par Pierre Leguillon dans l’un de ses diaporamas)
_________
[2 mars] :
Reçu quelques sacs d’Alexandre W. :
_________
[1er mars] :
Reçu de Lee Sallows
ce travail multiréférent de presque 20 ans :
Le principe : prendre
un nom de nombre quelconque – « TIEN », par exemple en haut à gauche
(soit « dix » en néerlandais) ; il y a dix lettres
« E » dans le cartouche anglais (visé par la flèche inférieure). De
même pour « DEUX » tout en bas à droite du diagramme : il y a
deux lettres « Z » dans le cartouche néerlandais pointé par la flèche
du bas... Merci Lee !
Reçu
de Lee aussi cette jolie
phrase :
How many letters would this
question contain if the answer
wasn’t already seventy-one ?
J’ai adapté en français et envoyé à Alexandre W. :
Combien de lettres écriraient cette
question si la réponse n’était pas déjà soixante-dix-huit ?
Il me répondit instantanément :
Soixante-seize !
Lee m’envoya
ceci un peu plus tard :
How many letters would
the next question contain
if the answer wasn’t already seventy-eight?
How many letters would
the previous question contain
if the answer wasn’t already seventy-six?
How many letters would
the next question contain
if the answer wasn’t already ninety-two?
How many letters would
these two questions jointly contain if the answer wasn’t already
one hundred sixty-five?
How many letters would
the next question contain
if the answer wasn’t already ninety-three?
How many more letters than the first question would this question contain if the answer wasn’t already
eighteen?
How many of each letter
would this question require if the answer was not already eight a’s, two
c’s, four d’s, thirtythree e’s,
six f’s, two g’s, twelve h’s,
sixteen i’s, six l’s, two m’s, thirteen n’s, eleven o’s, three
q’s, fourteen r’s, thirtythree s’s, twentysix t’s, six u’s, five v’s, ten w’s,
seven x’s, and six y’s?
_________
[25 février] :
-
Depuis Archimède les bateaux
flottent.
-
Galilée (1564/1642) a été condamné a
mort parce qu’il est le premier à avoir fait tourner la terre.
-
Un kilo de mercure pèse pratiquement une tonne.
-
Pour conserver la glace il faut d’abord la geler.
-
Les rivières coulent toujours dans le sens de l’eau.
-
Quand il voit, l’œil ne sait pas ce qu’il voit. II envoie une photo au cerveau
qui lui explique.
-
Les Égyptiens transformaient leurs morts en momies pour les garder vivants.
-
Grâce à la structure de son œil l’aigle est capable de lire le journal à 1400
mètres.
- La lecture permet à
l’homme de devenir myope.
_________
[15 février] :
Compléter la phrase suivante à l’aide d’un adjectif
numéral (écrit en toutes lettres) afin qu’elle soit
vraie :
La ...ième lettre de cette
phrase est un « x ».
Solution ici.
Énigme trouvée là.
Ejusdem farinae.
_________
[29 janvier] :
Le plus
beau des travaux de Giovanni Anselmo,
vu au Smak
de Gand : le mot VISIBILE
projeté dans le vide d’une salle immense — et donc invisible (voir ici à l’entrée
« 1971 »)...
_________
[20 janvier] :
« Il n’est pas possible de partager un
cube, en deux cubes, une puissance quatrième en deux puissances quatrièmes et
en général une puissance d’exposant supérieur au deuxième en puissances de même
exposant. J’en ai découvert une démonstration merveilleuse. L’étroitesse de la
marge ne la contien
[Pierre
de Fermat, 1641.]
_________
[7 janvier] :
Adoré
cette photo de « photos » de Walker
Evans trouvée en feuilletant le bouquin de Martin Parr sur les livres de photo (elle figurait à l’origine dans « American Photographs ») :
_________
[3 janvier] :
Tombé sur
l’œuvre de William Anastasi
et hurlé de rire à sa non-signature
dûment authentifiée (plus bas) :
...cette dernière
œuvre d’Anastasi
me faisant penser à celle-ci
Il y a
aussi ce travail célèbre de John Knight,
Site Displacement
(rephotographié dans le catalogue de l’expo « Los Angeles 1955-1985 » qui
s’est tenue au Centre Pompidou du 8 mars 2006 au 17 juillet) –
travail qui date de 1969, tout de même !
_________
[2 janvier] :
Reçu de Patrice
B. de magnifiques vœux de nouvel an frappés de ce timbre de Philippe Geluck.
La « Véritable carte de Vœu » ci-dessous est de Stéphane B. :
_________
[0 janvier] :
Vu l’expo
magnifique de Jeff Wall à
__________
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