Code et automobile
« Bonsoir
et bienvenue sur le plateau de « Souriez,
vous êtes filmés », 3e saison et décor rénové, comme vous pouvez le
voir ! La production a tout repeint en blanc, et, attention... certaines
parties ne sont pas tout à fait sèches !
J’espère
que vous avez tourné de nombreuses images durant les mois d’été, je vous
rappelle notre adresse — « Souriez,
vous êtes filmé », BP 6, Schaerbeek 6, 1030 Bruxelles —, envoyez-nous
vos séquences les plus drôles, elles passeront à l’antenne !
L’émission
d’aujourd’hui sera placée sous le signe de la route et du code qui
l’accompagne ! Nous allons voir, entre autres choses, si vous méritez toujours
votre permis de conduire ! À
propos, vous savez à quand remonte le premier permis de conduire ? À juillet 1888, date à laquelle un certain
Léon Serpollet reçoit l’autorisation
du service des Mines de conduire un tricycle à vapeur de son invention dans les
rues de Paris.
Bien,
on commence par un cheval... à vapeurs, lui aussi !
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« Léon Serpollet, comme on l’a vu, fut le
premier à obtenir un permis de conduire.
Mais vous savez qui fut le premier à se voir retirer ce même permis ?
Léon Serpollet encore, pour excès de vitesse, quelques jours après avoir
obtenu le précieux document ! Il faisait en effet du 35 km/h dans les rues
de Paris à bord de son tricycle à vapeur ! Le brave Léon devra attendre 3
ans, jusqu’en avril 1891, avant d’obtenir une nouvelle autorisation de circuler
dans la capitale, et sans limitation de vitesse, cette fois !
Voyons
si vous connaissez le code belge : sur autoroute, à partir de quelle
vitesse peut-on vous retirer immédiatement le permis ?
—
réponse a) 150 km/h
—
réponse b) 160 km/h
—
réponse c) 170 km/h
Eh
bien c’était la réponse (b) : à partir de 160 km/h.
Tiens,
un petit rappel : vous saviez qu’il y a une vitesse minimale à respecter sur autoroute ? Elle est de 70 km/h.
On
se retrouve après quelques enfantillages…
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« Vous
savez de quand date le premier feu rouge ?
Du 10 décembre 1868, soit bien avant l’invention de la voiture. Il fut érigé à
Londres au coin de Bridge Street et
de Palace Yard. Il s’agissait d’une
lanterne fonctionnant au gaz, placée au bout d’un mat en acier de 7 mètres de
haut. D’un côté la lanterne était rouge, pour « stop », de l’autre elle était verte pour « prudence ! » Un agent se
trouvait au pied du dispositif et tournait la lanterne dans le bon sens à l’aide
d’un levier. Quinze jours après son
installation la lanterne explosa en blessant le malheureux agent... Les feux
électriques ne prirent le relais que cinquante ans plus tard.
Vous
connaissez les 3 couleurs verte, rouge et orange des feux de circulation, mais
où trouve-t-on des feux blancs clignotants ?
— au
début d’une portion de route en travaux
—
juste avant un passage à niveau
— à
l’entrée d’un tunnel dangereux
[...]
Il s’agissait du passage à niveau.
Tû-tûûûûûtt’ !
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« Pourquoi
roule-t-on à gauche en
Angleterre ? Il faut faire un peu d’histoire et remonter au temps d’avant
les voitures. Notons tout d’abord qu’un cavalier
avançant sur un chemin ou sur une route, a intérêt, pour sa sécurité, à se
déporter sur la gauche, libérant ainsi de l’espace pour son bras droit, lequel
pourra manier plus facilement l’épée ou le pistolet en cas d’attaque. En
revanche, si vous êtes à pied et que vous conduisez votre cheval par la bride,
vous aurez naturellement tendance à vous placer à la gauche de l’animal —
puisque la bride sera dans votre main droite. De ce fait vous serrerez plutôt à
droite. Pareil pour les charrettes et les chariots que l’on conduit à
pied : on se tient à gauche de l’animal et on se rabat à droite en cas de
croisement avec un autre chariot.
C’est
ainsi que les attelages français circulaient plutôt à droite, d’autant que
leurs conducteurs se tenaient parfois à califourchon sur l’un des chevaux et
pas sur le chariot lui-même — et ça, ça change tout !
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« Ça
change tout à cause du fouet !
Quand vous conduisez un chariot, et que vous êtes assis sur le chargement ou
sur la banquette, vous avez naturellement tendance à rouler à gauche, en raison
du maniement du fouet par la main droite — et c’est ce qui s’est produit en Angleterre, où ce type de chariot était
majoritaire.
En France, en revanche, les attelages
composés de plusieurs chevaux étaient souvent conduits par un homme qui
enfourchait une de ses bêtes. Comme le veut la tradition, il montait sur celle-ci
par le côté gauche, choisissant le cheval le plus en arrière et le plus à
gauche, de manière à pouvoir contrôler de la voix et du fouet le reste de
l’équipage. La conduite à droite semblait donc la norme en France, alors qu’en
Europe centrale, par exemple, c’était le contraire, comme en Angleterre.
Et
puis Napoléon vint, qui partit à la
conquête du continent et qui imposa aux pays vaincus la conduite à droite, à la
« française ».
Voilà
ce qui explique l’isolement de nos cousins Anglo-Saxons... isolement relatif,
comme nous allons le voir après ceci !
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« Voici
la liste des pays qui ont conservé
la conduite à gauche ; ils
totalisent un tiers des conducteurs
du monde, quand même, pour un quart
du réseau routier total environ — attention, c’est parti :
L’Afrique
du Sud roule à gauche, ainsi que l’Australie, Antigua, les Bahamas, le Bengla
Desh, la Barbade, les Bermudes, le Boutan et le Népal, le Botswana, le sultanat
de Brunei, les îles Caïman, les Cooks, Chypre, Timor-Est, les Falklands, Fidji,
la Grenade, Guernesey et Jersey, Hong Kong, l’Inde, l’Indonésie, l’Irlande,
l’île de Man, la Jamaïque, le Japon, le Kenya, les îles Kiribati, le Lesotho,
Macao, le Malawi, la Malaisie, les îles Maldives, Malte, l’île Maurice, le
Mozambique, la Namibie, la Nouvelle-Zélande, l’Ouganda, le Pakistan, la
Papouasie-Nouvelle Guinée, l’île de Sainte-Hélène (un comble pour Napoléon !), les Seychelles,
Singapour, le Sri Lanka, le Surinam, le Swaziland, la Tanzanie, la Thaïlande,
le Royaume-Uni — bien sûr ! —, la Zambie, le Zimbabwe, plus quelques
autres îles et micro-états que nous n’avons pas le temps d’évoquer ici —
ouf !
Dis,
fieu, tu vas circuler avec tes
questions idiotes !? Allez, hop ! Et tiens ta droite !
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« Tiens,
connaissez-vous l’origine du rétroviseur ?
On en doit l’invention à une Française, une certaine demoiselle Davy de Cussé, laquelle fixa un jour à
l’avant de sa voiture — c’était en 1898 ! — un petit miroir pour, je
cite : « Voir ce qui se passe
derrière ». Elle en déposa le brevet et fut aussitôt critiquée dans
une chronique de journal : « C’est
un instrument baroque et sans suite... ». Bravo les
journalistes !
Avez-vous
une bonne vue ? Parmi les dix signaux qui s’affichent autour de moi, un
seul n’existe pas... Regardez bien... attention... 3... 2... 1... Stop !
C’était
évidemment l’avant-dernier, qui représente un avion en train de se crasher et
qui est l’œuvre de l’artiste gantois Johan
Grimonprez dont quelques travaux
tournent avec humour autour des détournements d’avion.
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« Nous
poursuivons nos histoires de permis de
conduire, de code de la route, etc., avec cette
anecdote : vous savez que les Romains
sont en partie responsables de l’architecture de la navette spatiale ?
Voici
comment. Les boosters à poudre de la
navette que vous voyez autour de moi ont une largeur de 3 mètres 70 chacun. Ils
sont fabriqués à Corrine en Utah dans l’usine de la société Thiokol qui les envoie par train à Cap Canaveral. Les ingénieurs auraient
aimé les faire plus grands, ces boosters, mais ils en furent empêchés par la
taille des voies de chemin de fer. Or la distance entre les rails américains
(soit 4 pieds et 8 pouces et demi—1.435 mm) vient directement des premières
voies de tramway anglaises, à
l’écartement identique. Cet écartement venant lui-même des chariots du Moyen
âge, lesquels avaient été conçus pour emprunter les voies romaines qui
sillonnaient encore toute l’Europe. Les ornières de ces voies avaient été
creusées par les roues des chars romains, roues dont l’écartement fut déterminé
par la taille de l’arrière-train de deux chevaux placés côte à côte !
Ah
c’est beau la technologie, mais on serait déjà sur Mars si Hannibal et ses
éléphants avaient battu les Romains, non ?!
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« Vous
connaissez ce mot célèbre de Winston Churchill :
« Sous le capitalisme les gens ont davantage de voiture. Sous le
communisme ils ont davantage de parkings ».
La
Grande-Bretagne n’exporte pas que des humoristes ou des prix Nobel de
littérature — tel Churchill — mais aussi des inventeurs autrement sérieux.
Comme John Mac Adam par exemple,
lequel, paradoxalement n’a pas inventé le revêtement du même nom mais bien un
système de construction de route. Avant John
les routes coûtaient une fortune pour un résultat désastreux : un an après
leur construction elles devenaient impraticables à cause de la pluie et du
trafic. John eut l’intuition — nous sommes en 1786, en Écosse — qu’il suffisait
d’empêcher l’eau de saper la chaussée. Il recommanda donc de surélever
celle-ci, de drainer, et d’en soigner le revêtement pour éviter les
infiltrations. Le macadam que nous
connaissons ne fut inventé qu’en 1901, par un certain Edgar Purnell Hooley. Ce dernier constata par hasard qu’une flaque
de goudron, renversé accidentellement puis recouvert par du gravier, avait
durci — formant une couche solide et lisse...
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« Avant
d’en arriver à cet autre inventeur écossais de génie qu’était John Boyd Dunlop, revoyons notre code.
Quand puis-je rouler avec des pneus à
clous ? ... ... ... ...
...
—
Entre le 1er novembre et le 31 mars !
Quelle
est la vitesse maximale autorisée sur route avec ces pneus ?
— 60
km/h !
John Dunlop, lui, était vétérinaire. Un
beau jour de 1887, à Belfast, en Irlande, il eut l’idée de placer, sur la roue
avant du tricycle de son fils, un tube de gomme, puis de le gonfler à l’aide de
la pompe réservée au ballon de foot. Le premier
pneu était né, du moins le pensait-il, et Dunlop le breveta . En réalité
l’invention en avait été déposée 40 ans auparavant par un certain Robert William Thomson, un autre
Écossais. Cascade de procès, remportés finalement par Dunlop qui passa ainsi à la postérité comme l’inventeur du
pneumatique.
Dernière
question : Jean-Paul 2 a-t-il 16 ou 24 sous-papes ?
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« Et
le premier accident d’automobile, de quand date-t-il ? Du 22 avril 1770 et
de la fabrication du premier véhicule autonome, le célèbre « fardier » de Cugnot. L’engin, en démonstration devant Louis XV dans le parc du
prince de Conti, à Vanves, près de Paris, percuta un mur suite à une fausse
manœuvre. Il n’y eut pas de blessé mais le sinistre fut total.
Le
fardier était un gros tricycle muni
d’une chaudière à vapeur placée en porte-à-faux à l’avant du véhicule. La
troisième version du fardier de Cugnot — qu’on peut toujours admirer au Conservatoire des Arts et Métiers, à
Paris — était munie de deux cylindres de 31 litres chacun et pouvait rouler à 8
ou 9 km/h pendant une dizaine de minutes. C’est l’armée qui finança les
premiers prototypes de Cugnot avant de s’en désintéresser à l’occasion d’un
changement de gouvernement...
Que
faut-il faire en cas d’accident avec dégâts matériels ? Mais dégager la
chaussée, bon sang ! Et remplir ses petits papiers où ça ne dérange
personne ! C’est incroyable le nombre de gens qui restent plantés en plein
trafic avec leur GSM et qui embêtent tout le monde !
On
enchaîne avec quelques exercices d’équilibre...
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« Vous
connaissez les signaux A14 et F87, il signalent un « dispositif surélevé
sur la voie publique » — c’est la dénomination officielle de l’arrêté
royal du 9 octobre 1998. On ne confondra évidemment pas ces signaux avec le
panneau A 13, qui annonce, lui, un « cassis ou un dos d’âne ».
Personne
n’utilise les mots « dispositif surélevé sur la voie publique » pour
qualifier ce tas de briques qui fait le bonheur des carrossiers, des vendeurs de
pots d’échappements ou d’amortisseurs,
non, nous utilisons des mots beaucoup plus simples : ralentisseur, casse-vitesse, bosse, dos d’âne — mais le plus poétique est sûrement le « gendarme couché » qu’on entend
surtout en France. En Angleterre on retrouve cette image sous forme de « Sleeping policeman », alors qu’en
Allemagne on évoque plutôt le « Berliner
Kissen », le coussin berlinois,
Dieu sait pourquoi.
Vous savez que ces ralentisseurs
doivent avoir un profil bien précis ? Ils doivent être sinusoïdaux et ne
peuvent dépasser 12 cm de haut. Si ce n’est pas le cas près de chez vous, allez
vous plaindre à la commune, c’est elle qui est responsable...
Aïe !
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« L’histoire
de la ceinture de sécurité commence aux États-Unis en 1885, date à laquelle un
certain Edward Claghorn prend un
brevet pour une ceinture destinée à maintenir en place les passagers des
malle-postes, fiacres et autres diligences encore en usage.
L’étape
suivante est la course
Paris-Marseille, en 1896 où certains pilotes utilisent une ceinture pour ne pas
être éjectés dans les virages.
En
1903 le Français Gustave Désiré Liébau
brevète des « bretelles protectrices
pour voitures automobiles et autres », mais c’est l’aéronautique qui
popularisera ce genre de harnais à partir de la première guerre mondiale.
La
ceinture à trois points de fixation telle que nous la connaissons aujourd’hui
fut inventée en 1959 par Nils Bohlin
un ingénieur en sécurité chez Volvo.
Il avait été frappé, comme plusieurs millions de personnes, par la mort de James Dean, quelques années auparavant,
au volant d’une Porsche Spyder.
Le
port de la ceinture de sécurité est obligatoire désormais, que ce soit à
l’avant ou à l’arrière.
Lady Di, assise derrière le chauffeur,
ne portait pas sa ceinture le 31 août 1997, alors que son garde du corps, assis
à la place du mort, oui.
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« Le
moment du quiz (de poulet) est arrivé,
attention :
----> « Le signal A23, que voici, signifie « sortie
d’école » :
(a) oui (b) non
Réponse : non. Il signifie « endroit spécialement fréquenté par des
enfants ».
----> « Vous prenez la même route chaque jour
; la probabilité que vous y ayez un accident est :
(a) réduite (b)
égale
(c) accrue
Réponse (c) : accrue. De 42% par
rapport à une route inconnue !
----> « Sur la route des vacances, votre pneu
éclate : pourquoi ?
(a) il est trop
gonflé (b) pas assez gonflé (c) à cause d’un objet pointu.
Réponse (b) : votre pneu n’est pas
assez gonflé.
----> « Vous roulez à 120 km/h : à quoi
se réduit votre champ visuel ?
(a) à 30° (b) à 45° (c)
à 90°
Réponse (a) : à 30°
----> « Et pourquoi les voitures de police ont
une baignoire sur le toit ?
Réponse : pour mettre la sirène...
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« La
première plaque d’immatriculation est apparue en France
en 1893. Une ordonnance de la Préfecture de Paris, datant du 14 août de la même
année, stipulait que :« Tout
véhicule à moteur doit apposer une plaque métallique sur laquelle sont inscrits
le nom et l’adresse du propriétaire ainsi qu’un numéro d’autorisation ».
Le terme « plaque minéralogique » vient du fait qu’à l’origine,
c’était l’Administration des Mines,
en France, qui enregistrait ces immatriculations.
Vous
savez qu’on peut, dans certains pays — dont la Belgique —, acheter en toute
légalité sa plaque. Le record du prix le plus élevé est détenu par un
richissime homme d’affaire de Hong Kong qui acheta aux enchères, en avril 1994,
une plaque portant le seul chiffre 9 pour, tenez-vous bien... 110 millions de
FB ! Monsieur Albert Yeung Sau
Shing tenait à cette plaque car le chiffre 9 est considéré comme portant chance à Hong Kong...
On
est sûr d’une chose, il aura porté chance à l’administration en tout cas...
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« Voilà,
c’est avec ce joli bouquet de fleur et cette future mariée que nous allons nous
quitter. J’aurais aimé vous parler encore de l’airbag et de son inventeur — qui n’est autre que Gaston Lagaffe, vous pouvez vérifier,
c’est dans l’album n°12 page 18 — ou de l’histoire du contrôle technique, désormais obligatoire un peu partout en Europe,
mais on me fait signe d’accélérer — c’est le comble !
Deux
mots sur deux mots, justement :
« automobile », d’abord,
qui troubla les académiciens au début
du siècle passé : ils préconisèrent pendant 15 ans — de 1900 à 1915 —
l’emploi masculin d’automobile :
UN automobile ;« tarmac »,
ensuite, très employé dans les aéroports et qui vient lui aussi de l’invention
attribuée à John Mac Adam, puisque
ce mot est composé de « tar », goudron,
en anglais, et de « mac » pour macadam.
Tiens,
vous savez pourquoi les escaliers en
colimaçon tournent toujours dans le même sens ? Parce que...
Bon ! ... OK ! ... J’arrête !
N’oubliez
pas de nous envoyer vos K7 à l’adresse indiquée, on se revoit en octobre, soyez
prudents !
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