PGCD & PPCM
(deux idées d’algorithmes pour Alain Zalmanski)
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Idée
PGCD
...
on choisit un nombre quelconque (par exemple 41) et on le considère un instant
comme la concaténation de deux chaînes, « a » et « b »
(ainsi 41 --> 4 et 1)
On cherche
le PGCD(a,b) et on l’ajoute
au nombre initial [ici PGCD(4,1)= 1 ; lequel 1, ajouté à 41, donne 42].
Et
on recommence à partir du résultat.
Ainsi
aura-t-on dans notre exemple :
41+1=42
42+2=44
44+4=48
48+4=52
52+1=53
53+1=54
54+1=55
55+5=60 FIN
[un nombre meurt dès qu’il se termine par zéro -- et ce même si l’on peut
trouver deux chaînes « a » et « b » valides (ainsi le
nombre 1020 meurt-il même si on peut le voir comme 10 et 20 avec PGCD=10 ;
c’est injuste mais c’est comme ça !)]
Quel
est le plus petit nombre qui ne meurt pas ?
[si plusieurs chaînes « a » et « b » sont
possibles, on choisit celle qu’on veut ; ainsi 324 pourra-t-il être vu
comme 3 et 24 (PGCD=3) ou 32 et 4 (PGCD=4) : dans le premier cas on
continue avec 324+3=327, dans le second avec 324+4=328.]
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Idée
PPCM
...
c’est un peu la même, on ajoute le PPCM au nombre de départ, la FIN
étant la même [ceci pour éviter que la suite des résultats n’entre dans un
schéma répétitif -- 26, par exemple, donnerait :
26+6=32
32+6=38
38+24=62
62+6=68
68+24=92
92+18=110
110+10=120
120+20=140
140+40=180
180+80=260
et 260 produit
320,380,620,680,920,1100,1200,1400,1800,2600, etc.]
Même
remarque que supra sur la décomposition en chaînes « a » et
« b » –> on fait comme on veut ! Quel est, ici aussi, le plus
petit nombre qui ne meurt pas ?
à+
É.